Comics d'Ici


"Un trou noir menace la place Guérin ? Ponta n'est pas Zen ? Il y a des turbulences à Lire la suite

Brest Ménagerie


En février dernier, j'ai commencé à photographier les représentations d'animaux que je croisais dans les rues de Brest. Un Lire la suite

Hissez Ho !


Il y a quelques mois, j'ai eu le plaisir de réaliser l'affiche de l'édition 2022 de Dire et Lire Lire la suite

Qu'est-ce qu'elle a ma ville ?


Brest, ma ville. Que j'adore dessiner. Son bitume mouillé, son béton, sa rouille, sa mélancolie. Ses vieux gouailleurs, sa Lire la suite

» Donjon

Le Violon Dingue a 25 ans

posté le par obion dans Notes BD

Il y a 25 ans jour pour jour sortait le premier numéro (plus précisément le numéro zéro) du Fanzine Le Violon Dingue, le 1er avril 1998.

Depuis quelques années, je me rendais religieusement à chaque édition du festival d’Angoulême, accompagné de quelques poignées de fans de BD de ma région grâce à l’initiative du sémillant Erwan Botrel (s’il y a quelqu’un à qui peut coller cet adjectif, c’est bien lui) qui organisait des voyages en car depuis le Finistère. Hébergés dans un lycée agricole et réveil militaire à 7h du mat par Erwan qui jouait de la bombarde dans les couloirs.
Je voulais devenir dessinateur depuis mon plus jeune âge, mais à ce moment là, j’y allais surtout en tant que lecteur, fan de Loisel, Maëster et plein d’autres, trop content de faire jusque’à 4 h de queue pour un petit dessin. De baigner dans cet univers auquel j’aspirais tellement depuis mon petit village de campagne, les pieds dans la bouse et la tête dans les bulles, où trouver des amis qui partagent cette passion était quasiment mission impossible. Enfin si, il y avait Erwan, qui en plus de porter le même prénom que moi portait aussi les mêmes habits et on avait créé ensemble le journal du lycée. D’ailleurs il faisait bien sûr partie du voyage pour Angoulême.
Là bas, entre exposants et collectionneurs, enfants avec des étoiles dans les yeux, aspirants dessinateurs et expositions époustouflantes, punks à fanzines trainant à moitié bourrés dans les rues, j’étais chez moi, c’était un peu, comment dire… ma famille.

Très vite, en sillonnant le festival, je m’étais rendu compte que certains dessinateurs au talent parfois bien plus accessible que mes idoles susnommées arboraient fièrement des badges officiels qui leur servaient à la fois de médailles pour briller aux yeux des passants ébahis, mais surtout de coupe-file pour entrer dans les Bulles. Pour obtenir ce Sésame, rien de plus simple : être un fanzineux.

En 1997, étudiant aux Beaux Arts de Brest, j’avais toujours chevillé au corps ce désir débordant d’avoir un badge pour frimer et couper les files d’attente du prochain festival d’Angoulême. Il devenait impératif de motiver des copains à créer un Fanzine.
D’abord les copains de classe : Pierre Stoll alias Pideul, Nico Cado alias Raspoutine, Nyna, Fabrice Pellen, Gwendal Lemercier
Et puis la question de trouver des points de vente à Brest se posa assez vite. En démarchant les disquaires et libraires de la ville, l’un d’entre eux se proposa, non seulement de mettre en vente notre Fanzine dans son rayon de la Sonothèque, mais aussi d’y participer. En plus de son talent de scénariste, il nous offrait son talent de VRP. Il décrochait des points de vente dans chaque troquet, des articles dans chaque organe de PQR, dégotait des nouveaux auteurs, nous promettait monts et merveilles, des festivals archi VRP un peu survendus qui s’avéraient être des fêtes de la saucisse dans un bled paumé.Il s’appelait Kris. (S’il y avait, à l’époque, une deuxième personne à qui seyait à merveille l’adjectif sémillant, c’était bien lui.)
Nous ont rejoint Mike, Fried, Julien Lamanda, Loisif, et bien sûr Nicolas Hervoches qui gérait la mise en page, Michaël Le Gall alias Le Galli, Yann Provost alias Mr Absent.


Après avoir noirci des pages et des pages d’idées de noms, nous avons choisi « Le Violon Dingue » (ref au Violon D’Ingres, évidemment), une idée de mon copain Thomas Morin, qui apparaitra une ou deux fois en Guest star dans mes histoires. Gwendal nous dessina un joli Logo, une mascotte appelée Strad, Nicolas Hervoches choisit sa plus belle police de caractère avec un magnifique ombrage (ne rigolez pas, c’était super tendance à cette époque)
Le rituel des réunions à l’étage du Café Belge (aujourd’hui’hui Nectarine) se mit rapidement en place, on avançait chacun chez soi et on se retrouvait pour des réunions de boulot autour d’une bière; et nous étions prêts pour lancer le premier numéro, sorti le 1er avril 1998. Il y a putain de 25 ans. Petit à petit, notre objectif n’était plus le badge coupe-file mais bien le titre de roi de la BD ou un truc comme ça.

L’aventure a duré moins de deux ans pour 6 numéros. Des tas d’autres dessinateurs ou scénaristes nous ont rejoint au fil des publications, dont certains sont devenus professionnels. On notera l’absence d’autrices. Ce n’était évidemment pas un choix éditorial, mais le reflet de ce qu’était le monde de la BD, catégorie amateurs finistériens à cette époque, pour ne pas dire simplement le monde de la BD tout court : très majoritairement masculin.
En comptant les nouveaux auteurs, chroniqueurs et « petite famille » qui tournait autour, nous étions une fière équipe. Dofresh, Mouk, LAST, LOL, OXO (le meilleur d’entre nous), Schnumft, Sylvain Thomas, Hubert et Weil, Erwan Le Bot alias Hily, Josselin Paris, Pyt, Laurent Cavoleau alias Cavolo, Jiro, Samarkand, Awen, Lano, Nikorik, Paddy, Closier, York, Raw, Blake, Zitouni, Nathalie Boeuf, Hral, Mickaël Raoult… certains venaient de super loin, genre Quimper ou Lorient, voire même Rennes …
Des personnages ou séries récurrentes faisaient la joie de nos lecteurs (si si) : Les Death Squad, Marie Germaine, Tommy, Fruchtuc, La vie des bêtes, Vert et revers…


Cette aventure était pour nous l’occasion de faire un premier pas dans le monde de la Bande dessinée, de faire régulièrement des pages, de montrer nos histoires à des pros qui chaque fois faisaient preuve d’une énorme patience et bienveillance. On a dédicacé notre fanzine en festival, rencontré des tas d’autres auteurs et autrices en herbe, et puis, plus tard, premiers albums pour certains tandis que les autres bifurquaient ou simplement gardaient ce plaisir de faire de la BD comme un loisir.
En 25 ans, pour la plupart, on s’est un peu perdus de vue. Certains sont restés des amis et les autres ont complètement disparu des radars. Il y en a peut-être qui sont morts … ça me ferait plaisir de revoir tout ce petit monde, mais bon, la vie qui file, tout ça, c’est compliqué. Enfin j’en revois de temps en temps ( Fried, Dofresh, coeur avec les doigts)
En tout cas c’était super grisant de partager ces moments avec vous les amis !

Fun Fact : On avait aussi des pages de rédactionnel et je me rends compte que j’avais commis un article sur la sortie de Donjon tome 1 :> Bon, je n’avais pas un grand talent de journaliste, c’est le moins que l’on puisse dire. Mais je le poste quand même parce que c’est un peu mignon.

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Donjon

posté le par obion dans Notes BD

Petit morceau du Donjon Crépuscule en cours. Il me reste encore quelques pages à faire, l’album sortira dans quelques mois.

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Poupi Crépuscule n° 101 : Râpée au jus de citron

posté le par obion dans Notes BD

Vous connaissez la série Poupi et ses copains de Sandrine Deloffre *?
Voici un extrait de Poupi Crépuscule n°101 ;)

* Episole 1 à lire par ici : https://www.facebook.com/poupietsescopains/

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Bandes fantômes

posté le par obion dans Notes BD

Dans le cadre du Pulp Festival 2, les 10/11/12 Avril prochains, Philippe Dupuy et Gwen de Bonneval organisent l’ exposition “Bandes fantômes”, sur le thème des bandes dessinées qui n’ont jamais vu le jour.

C’était l’occasion pour moi de remettre le nez dans mes propres “bandes fantômes” et autres spectres séquentiels qui hantent mes fonds de tiroirs, et de mettre en perspective mes quelques années de métier à travers ce prisme. À première vue, je vous l’accorde, ça peut faire un peu itinéraire de la lose, mais ça rappelle aussi que garder la foi, quand on fait ce boulot, est parfois une vraie gageure.

Requiem

2002
Scénario : Kris
L’histoire en quelques mots : Notre tout premier projet pro à Kris comme à moi, une saga en 5 tomes qui raconte une guerre religieuse mondiale .
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : Le projet devait être publié chez Vents d’Ouest sous la direction de Thierry Cailleteau, Il nous l’avait dit, il était très enthousiaste, c’était dans la poche. Il fallait juste revoir quelques petites choses de rien du tout… On a donc passé presque un an à peaufiner l’écriture et retoucher des planches (je dois avoir au moins 10 versions de certaines pages !) avant qu’il nous dise que finalement on l’emmerdait pendant ses siestes quand on appelait entre 14h et 17h et qu’il ne fallait plus l’appeler de toute façon. Premiers pas dans le monde merveilleux de la Bande Dessinée.


 

Le Déserteur, tomes 1 et 2

(ALBUMS PUBLIÉS)
Nous rebondissons avec Kris sur une autre série : Le Déserteur, qui sera rapidement sigée chez Delcourt. Malheureusement elle est arrêtée en plein milieu (voir chapitre suivant). Aujourd’hui les albums ne sont plus disponibles.

Le Déserteur, tomes 3 et 4

2005…
Scénario : Kris
L’histoire en quelques mots : la suite des tomes 1 et 2 parus chez Delcourt.
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : Suite à une brouille entre le scénariste et l’éditeur la série a été tout bonnement annulée en plein milieu.

 

Kr-Ob art’

2005
Scénario : KRis et OBion
L’histoire en quelques mots : La vie de deux jeunes auteurs de BD.
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : Un contrat était signé chez Delcourt (sous la direction de Thierry Joor) mais l’album a été annulé pour les raisons citées ci-dessus sans que personne, chez l’éditeur, ne prenne la peine de me prévenir personnellement alors que j’étais quand même co-scénariste, dessinateur et coloriste de la série. Je l’ai eu mauvaise assez longtemps mais bon, dans les règlements de comptes les dégâts collatéraux sont inévitables j’imagine… Cette fois-là c’était pour ma pomme.

(projet de couv. Le scénariste décrit des hordes de cavaliers alors que le dessinateur peine à esquisser son premier canasson. Dix ans plus tard, j’ai repris ce thème de  la difficulté du dessin de cheval dans l’Atelier Mastodonte)

Une version intimiste avec un ton et un graphisme très différents était aussi prévue chez Les rêveurs, mais suite à une mésentente avec Manu Larcenet, on s’est aussi fait planter sur ce projet. Grmb.

 

Circum Navigation

2006
Scénario : Kris
L’histoire en quelques mots : La vie du dernier survivant sur Terre.
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : le projet n’était pas tellement avancé quand finalement un autre projet a été accepté (Vilebrequin).

 

Notre mère la guerre

2006 ou 2007
Scénario : Kris
L’histoire en quelques mots : Notre Mère la Guerre est une histoire de guerre. En fait, plus que ça, c’est un récit qui prend la guerre pour sujet principal. Une guerre qui devait être « la der des ders », et qui restera, en fin de compte, comme « la mère de toutes les guerres ».
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : Kris m’avait proposé ce scénario et, à peine avais-je commencé à faire quelques recherches de personnages, que j’apprenais qu’il allait le faire avec un autre dessinateur en fin de compte, dans un style beaucoup plus réaliste que ce que j’imaginais pour cette histoire. C’est donc un projet fantôme dans ma propre bibliographie mais les livres existent, dessinés par Maël. Et bon. C’est très bien comme ça.

 

Apocalypse / Le triomphe de la végétation

2006
Scénario : Renaud Cerqueux.
L’histoire en quelques mots : encore un projet post apocalyptique…
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : le projet n’était pas tellement avancé quand finalement un autre projet a été accepté (Vilebrequin).

Quelques recherches.
 

Tenochtitlan

2006
Scénario : Arnaud Le Gouëfflec
L’histoire en quelques mots : Une cantatrice traverse une ville dévastée par la guerre, à mi chemin entre la ville de Brest et Tenochtitlan, la capitale de l’empire Aztèque quand soudain…
(je mets “quand soudain…” parce que je ne me souviens plus précisément de l’intrigue)
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : Après plusieurs allers-retours avec Joann Sfar qui semblait être intéressé par le projet pour la collection Bayou, et la réalisation d’une dizaine de pages de storyboard, le projet ne l’a finalement plus intéressé. Un peu déçus, plutôt que de s’acharner à le présenter à droite à gauche, on a enchainé très vite sur un nouveau projet avec Arnaud : Vilebrequin, qui a été “édité” aux éditions Casterman.

Vilebrequin

(ALBUM “PUBLIÉ”)
Je réalise alors Vilebrequin avec Arnaud Le Gouëfflec, chez Casterman, sous la “direction” de Didier Borg (l’inventeur du célèbre slogan “KSTR, la BD qui a du son !”).
Il était temps, car après tous ces projets annulés, refusés, avortés, je commençais à perdre un peu la foi. En plus avec Arnaud on s’amuse beaucoup et on a l’impression de faire un chouette Album.
Malheureusement, l’album est sabordé par l’éditeur et tout ça se finit au tribunal…
Aujourd’hui la collection KSTR n’existe plus et Vilebrequin n’est plus disponible.

Donjon #106

(ALBUM PUBLIÉ)
En 2007, je suis contacté par Joann Sfar pour réaliser 3 tomes de Donjon Crépuscule. De quoi remotiver grave l’auteur blasé que je suis devenu ! J’en réalise un, mais la série se met en pause après cet album et je ne suis plus jamais recontacté.

 

Donjon tomes 107 et 108 (et plus si affinités)

Scénario : Joann Sfar et Lewis Trondheim

C’est un peu particulier ici car la réalisation de ces albums a été tout juste évoquée, même si je m’y voyais déjà “Bon, tu n’es pas gâté, tu commence par un épisode où il n’y a que des ours mais dans les prochains on retrouvera tout le bestiaire habituel“, mais ça n’est pas allé plus loin. Au moins, cette fois, je n’ai pas bossé des mois pour rien, c’est toujours ça.
Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : Je n’ai jamais trop su si c’était parce que les scénaristes s’étaient lassés de la série , si c’était le Cinéma qui avait accaparé le cœur de Joann, ou s’il n’aimait plus du tout mon dessin sans trop oser me le dire.
Conscient dès le départ de cette collaboration que je n’étais qu’un petit soldat au service du grand œuvre, pour ne pas reprendre l’image du bâtisseur de cathédrale utilisée par Boulet, je ne garde aucune amertume de cet arrêt sans aucune explication et je reste fier d’avoir, malgré tout, fait partie de l’aventure Donjon.

 

Love blog

(ALBUM PUBLIÉ)
Je réalise alors Love Blog, avec Gally. L’album sort aux éditions Delcourt en 2010, il est bien imprimé, comme c’est un one shot, pas de risque d’annuler la suite, nickel.

 

Félix en chie

2011
Scénario : Lewis Trondheim

L’histoire en quelques mots : Un jeune ado croit qu’il est un jeune ado de maintenant, mais en fait, c’est un jeune druide gaulois durant le premier siècle avJC qui a jeuné, cherchant dans ses visions le moyen de mettre un terme à l’invasion romaine. Le problème, c’est qu’ainsi, il ne se souvient plus que de sa vie au XIXe siècle, dans laquelle il est projeté pendant ses transes. Et qu’il sait qu’il n’y aura rien à faire contre les romains.

Pourquoi ce projet n’a jamais vu le jour : Je ne me sentais pas super à l’aise dans un univers adolescent, du coup ça s’en ressentait fortement sur l’avancée du projet et on a décidé d’arrêter. Et puis pour être tout à fait honnête, j’avais du mal à retrouver l’envie de faire de la Bande dessinée, à y trouver un sens, après avoir passé dix ans à faire des projets pour la plupart avortés, abandonnés, sabotés…
Je crois que j’avais besoin de passer un peu de temps loin des planches. En tout cas plus de projets qui demandent un tel investissement pour ne recevoir en retour que frustration, déceptions (et précarité). Je suis depuis toujours dans un rapport d’attraction/répulsion vis à vis de la Bande Dessinée, plaisir/souffrance, amour/désamour, envie/frustration… disons qu’à ce moment là, la répulsion/souffrance/frustration pesait beaucoup trop lourd dans la balance, même si j’avais du mal à me l’avouer, j’avais grave besoin d’un break.

Dommage, j’aurais bien aimé faire un autre album avec Lewis…


En revoyant les pages, je ne trouve pas ça si nul en fait, j’aurais peut-être dû persévérer.

 

SOUCOUPES

(ALBUM PUBLIÉ)
Et donc, 5 ans plus tard, voici Soucoupes, scénarisé par Arnaud Le Gouëfflec aux éditions Glénat, sous la direction de Franck Marguin.
Jusqu’ici tout se passe bien.
(je croise un peu les doigts :))

Ah ! Et puis j’ai rejoint l’Atelier Mastodonte il y a quelques temps et le premier recueil avec mes histoires dedans sort bientôt aussi.

Ces temps-ci la balance de la BD penche grave côté attraction/amour/plaisir, pourvu que ça dure <3

Rendez-vous au Pulp Festival pour retrouver les bandes fantômes de dizaines d’autres auteurs de renom tels que Tardi, Margerin, Moebius, Uderzo, Mezières, Trondheim, Juillard, Zep, Pedrosa, Chaland, Blutch, Cestac, Boulet et plein d’autres …
Plus d’infos sur leur site :

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Le mal absolu

posté le par obion dans Notes BD


#Donjon #Sfar #Trondheim

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Donjon Révolutions – making of…

posté le par obion dans Albums et Projets

Sur les premières apparitions des ours j’ai pas mal tâtonné…non seulement il fallait typer les personnages mais je devais aussi trouver l’encrage qui collerait bien avec les ambiances de Walter. Après Vilebrequin, je ne voulais pas trop noircir les pages pour laisser sa place à la couleur.

ici une petite évolution du storyboard à la page terminée pour les amateurs de making of.

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Donjon 106 – Le modèle d’Obion

posté le par obion dans Albums et Projets

Ces temps-ci je n’ai pas le temps de faire de note alors exceptionnellement je permets aux primés d’Angoulême de publier à ma place. :)

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Donjon – choubidou wap wap

posté le par obion dans Albums et Projets


Projet de couv de Donjon, histoire de vous faire un peu patienter.

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Donjon Révolutions

posté le par obion dans Albums et Projets


Et puis allez, hop ! Pour l’occasion, deux petites images…

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